Coppée, François - 1872 : Promenades et Intérieurs
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Coppée, François - 1872 : Promenades et Intérieurs
PROMENADES ET INTERIEURS François Coppée Edition 1891 - Alphonse Lemerre |
LE RECUEIL "PROMENADES ET INTERIEURS" Dans le premier texte, François Coppée indique clairement ses intentions : "Ce sont des souvenirs, des éclairs, des boutades, Trouvés au coin de l'âtre ou dans mes promenades Que je te veux conter par le droit bien permis Qu'ont de causer entre eux deux paisibles amis; "PROMENADES ET INTERIEURS" - Table des matières La table des matières ci-dessous s'appuie sur l'édition de 1891 où Promenades et intérieurs; fait suite à la section "Les Humbles"; et à la section "Ecrit pendant le siège". Dans cette édition, la section "Promenades et intérieurs" compte 39 poèmes numérotés I à XXXIX et sans titres. La liste ci-dessous fait donc l'inventaire des incipits (débuts des textes). I. Lecteur, à toi ces vers II. Prisonnier d'un bureau, je connais le plaisir III. C'est vrai, j'aime Paris d'une amitié malsaine... IV. J'adore la banlieue avec ses champs en friche V. Le soir, au coin du feu … VI. N’êtes-vous pas jaloux … VII. Vous en rirez VIII. Un rêve de bonheur qui souvent m'accompagne IX. Quand sont finis le feu d’artifice et la fête X. Quelqu’un a-t-il noté le désir hystérique XI. C’est un boudoir meublé … XII. Champêtres et lointains quartiers, je vous préfère XIII. Le Grand-Montrouge est loin XIV. J'écris près de la lampe. Il fait bon. Rien ne bouge XV. Volupté des parfums ! — Oui, toute odeur est fée XVI. Noces du samedi ! noces où l'on s'amuse XVII. Tel un chasseur perclus, devant son feu qui flambe XVIII. L’école XIX. En province, l’été XX. Depuis que son garçon est parti pour la guerre XXI. N’est-ce pas ? ce serait un bonheur vulgaire XXII. Il a neigé la veille et tout le jour il gèle XXIII. De la rue on entend sa plaintive chanson XXIV. Dans ces bals qu’en hiver les mères de famille XXV. Comme à cinq ans on est une grande personne XXVI. Je rêve, tant Paris m’est parfois un enfer XXVII. Vous êtes dans le vrai, canotiers, calicots XXVIII. Assis, les pieds pendants, sous l’arche du vieux pont XXIX. Malgré ses soixante ans, le joyeux invalide XXX. Sur un trottoir désert du faubourg Saint-Germain XXXI. Elle sait que l'attente est un cruel supplice XXXII. De même que Rousseau jadis fondait en pleurs XXXIII. Le printemps est charmant dans le Jardin des Plantes XXXIV. En plein soleil, le long du chemin de halage XXXV. Près du rail où souvent passe comme un éclair XXXVI. L'allée est droite et longue, et sur le ciel d'hiver XXXVII. Hier, sur une grand’route, où j’ai passé près d’eux XXXVIII. Comme le champ de foire est désert … XXXIX. J’écris ces vers ainsi qu’on fait des cigarettes * Les titres précédés d'un carré bleu sont des liens vers les textes. |
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