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Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations

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Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  Empty Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations

Message  Gil Def Mer 4 Aoû - 18:55

Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  377699  Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  377699  Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  377699


LES CONTEMPLATIONS
Victor Hugo
Edition 1856 - Lévy frères-Hetzel-Pagnerre
Edition 1858 - Hachette


Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  45943





LES CONTEMPLATIONS : CHEF D'OEUVRE LYRIQUE

Les Contemplations, c’est sans aucun doute le chef d’œuvre lyrique de Victor Hugo. C’est un recueil rassemblant 158 poèmes en 6 livres que Victor Hugo a publié en 1856. La plupart de ces poèmes ont été écrits entre 1846 et 1855, et les plus anciens datent de 1834.

LE LIVRE I : "AURORE" - Livre de jeunesse

Le livre premier s'intitule Aurore et contient 29 poèmes. C'est le livre de la jeunesse. Victor Hugo évoque ses premiers émois d'adolescent (Lise), ses souvenirs de collège (A propos d'Horace), ses premières luttes littéraires (Réponse à un acte d'accusation), ses impressions de promeneur ému par la beauté de la nature (Vere novo, le poète s'en va dans les champs) ou le spectacle bucolique (La fête chez Thérèse). Victor Hugo s'y exprime le plus souvent à la première personne et y évoque son expérience de la vie et de la poésie.

SOMMAIRE

Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 I. A ma fille
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 II. Le poëte s'en va dans les champs
III. Mes deux filles
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 IV. Le firmament est plein de la vaste clarté
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 V. A André Chénier
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 VI. La vie aux champs
VII. Réponse à un acte d'accusation
VIII. Suite
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 IX. Le poème éploré se lamente
X. A Madame D. G. de G.
XI. Lise
XII. Vere Novo
XIII. A propos d'Horace
XIV. A Granville, en 1836
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 XV. La Coccinelle
XVI. Vers 1820
XVII. A M. Froment Meurice
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 XVIII. Les oiseaux
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 XIX. Vieille chanson du jeune temps
XX. A un poëte aveugle
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 XXI. Elle était déchaussée, elle était décoiffée
XXII. La Fête chez Thérèse
XXIII. L'Enfance
XXIV. Heureux l'homme, occupé de l'éternel destin
XXV. Unité
XXVI. Quelques mots à un autre
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 XXVII. Oui, je suis le rêveur; je suis le camarade
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 XXVIII. Il faut que le poète, épris d'ombre et d'azur
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 XXIX. Halte en marchant


LE LIVRE II : "AME EN FLEUR"

Sous le titre "L'âme en fleur, le livre II, c'est le livre où Hugo conjugue le verbe Aimer comme il le dit dans le premier vers du premier poème Premier mai. La plupart des poèmes sont inspirés par Juliette Drouet. Hugo évoque les premiers émois de leur rencontre, leurs promenades dans les vergers et les forêts. Il immortalise aussi les moments de bonheur (Hier au soir, Mon bras pressait sa taille frêle). Il évoque aussi les épreuves vécues en commun, les désaccords, les réconciliations. Il note pour elle des impressions de voyage (Lettre) ou lui écrit qu'il a rêvé d'elle (Billet du matin).

SOMMAIRE

Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 I. Premier mai
II. Mes vers fuiraient, doux et frêles
III. Le Rouet d'Omphale
IV. Chanson
V. Hier au soir
VI. Lettre
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 VII. Nous allions au verger cueillir des bigarreaux
VIII. Tu peux, comme il te plaît, me faire jeune ou vieux
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 IX. En écoutant les oiseaux
X. Mon bras pressait la taille frêle
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 XI. Les femmes sont sur la terre
XII. Églogue
XIII. Viens
XIV. Billet du matin
XV. Paroles dans l'ombre
XVI. L'hirondelle au printemps cherche les vieilles tours
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 XVII. Sous les arbres
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 XVIII. Je sais bien qu'il est d'usage
XIX. N'envions rien
XX. Il fait froid
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 XXI. Il lui disait: «Vois-tu, si tous deux nous pouvions
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 XXII. Aimons toujours! aimons encore
XXIII. Après l'hiver
XXIV. Que le sort, quel qu'il soit, vous trouve toujours grande!
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 XXV. Je respire où tu palpites
XXVI. Crépuscule
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 XXVII. La nichée sous le portail
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 XXVIII. Un soir que je regardais le ciel


LE LIVRE III : "LES LUTTES ET LES REVES"

SOMMAIRE

I. Écrit sur un exemplaire de la Divina Commedia
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 II. Melancholia
III. Saturne
IV. Écrit au bas d'un crucifix
V. Quia pulvis esLa
VI. Source
VII. La Statue
VIII. Je lisais.
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 IX. Jeune fille, la grâce emplit tes dix-sept ans
X. Amour
XI. Un terre au flanc maigre ...
XII. Explication
XIII. La Chouette  
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 XIV. A la mère de l'enfant mort
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 XV. Épitaphe
XVI. Le Maître d'études
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 XVII. Chose vue un jour de printemps
XVIII. Intérieur
XIX. Baraques de la Foire
XX. Insomnie
XXI. Écrit sur la plinthe d'un bas-relief antique
XXII. La clarté du dehors ne distrait pas mon âme
XXIII. Le Revenant
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 XXIV. Aux Arbres
XXV. L'enfant voyant l'aïeule à filer occupée
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 XXVI. Joies du soir
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 XVII. J'aime l'araignée et j'aime l'ortie
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 XXVIII. Le poète
XXIX. La Nature
XXX. Magnitudo Parvi


LE LIVRE IV : "PAUCA MEAE" - Le deuil

Ce livre IV est le livre du deuil, d’un deuil pénible. Il a pour titre Pauca meae, ce qui signifie "quelques vers" qu’il dédie à sa fille Léopoldine. Il commence par une page blanche à la date du 4 septembre 1843, jour de la tragique noyade, dans la Seine près de Villequier, de sa fille Léopoldine et de son mari. Les premiers poèmes du recueil sont datés de trois années après le drame.
Hugo médite sur cet abîme qui sépare hier d'aujourd'hui. Il y exprime tour à tour sa révolte contre la cruauté du destin ("Oh je fus comme fou"), sa nostalgie ("elle avait pris ce pli"). Sa douleur semble inconsolable quand il fait son premier pèlerinage à Villequier sur la tombe de sa fille ("Demain dès l’aube"). Mais il semble enfin se résigner, se soumettre à la volonté divine (« A Villequier »).

I. Pure innocence!
II. Vertu sainte!
III. 15 Février 1843
IV. Trois ans après
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 V. Oh! je fus comme fou dans le premier moment
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 VI. Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin
VII. Quand nous habitions tous ensemble
VIII. Elle était pâle, et pourtant rose
IX. A qui donc sommes-nous?
X. O souvenirs! printemps! aurore!
XI. Pendant que le marin, qui calcule et qui doute
XII. On vit, on parle
XIII. A quoi songeaient les deux cavaliers dans la forêt
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 XIV. Veni, vidi, vixi
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 XV. Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne
XVI. A Villequier
XVII. Mors
XVIII. Charles Vacquerie


LE LIVRE V : "EN MARCHE"

I. A Auguste V.
II. Au fils du poète
III. Ecrit en 1846
- Ecrit en 1855
IV. La source tombait du rocher
V. A Mademoiselle Louise B.
VI. A vous qui êtes là
VII. Pour l'erreur, éclairer, c'est apostasier
VIII. A Jules J.
IX. Le mendiant
X. Aux Feuillantines
XI. Ponto
XII. Dolorosa
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 XIII. Paroles sur la dune
XIV. Claire P.
XV. A Alexandre D.
XVI. Lueur au couchant
XVII. Mugitusque boum
XVII. Apparition
XIX. Au poète qui m'envoie une plume d'aigle
XX. Cerigo
XXI. A Paul M
XXII. Je payai le pêcheur, qui passa son chemin
XXIII. Le vallon où je vais tous les jours est charmant
XXIV. J'ai cueilli cette fleur pour toi
XXV. O strophe du poète
XXVI. Les malheureux


LE LIVRE VI : "AU BORD DE L'INFINI"

I. Le pont
II. Ibo
III. Un spectre m'attendait
IV. Ecoutez. Je suis Jean;
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 V. Croire, pas en nous
VI. Pleurs dans la nuit
VII. Un jour, le morne esprit, le poète sublime
VIII. Claire
IX. A la fenêtre pendant la nuit
X. Eclaircie
XI. Oh ! par nos vils plaisirs, nos appétits, nos fanges
XII. Aux anges qui nous voient
XIII. Cadaver
XIV. O gouffre ! l'âme plonge et ramène le doute
XV. A celle qui est voilée
XVI. Horror
XVII. Dolor
XVII. Hélas ! Tout est éphémère
XIX. Voyage de nuit
XX. Relligio
XXI. Spes
Hugo, Victor - 1856 : Les Contemplations  989837 XXII. Ce que c'est que la mort
XXIII. Les mages
XXIV. En frappant à une porte
XXV. Nomen, numen, lumen
XXVI. Ce que dit la bouche d'ombre




* Les titres précédés d'un carré bleu sont des liens vers les textes.





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La poésie, c'est les paroles éparses du réel (Octavio Paz)
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