Hugo, Victor - 1881 : Les quatre vents de l'esprit
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Hugo, Victor - 1881 : Les quatre vents de l'esprit
LES QUATRE VENTS DE L'ESPRIT Victor Hugo Edition 1908 - Ollendorff |
LE RECUEIL "LES QUATRE VENTS DE L'ESPRIT" Les Quatre Vents de l'esprit est un recueil de poèmes de Victor Hugo, publié en 1881. Le projet de ce recueil est probablement antérieur à 1870. Mais la guerre de 1870, la Commune, l'établissement de la Troisième République, repoussèrent sans doute ce projet pour d’autres publications comme les Châtiments, l'Année terrible et l'Histoire d'un crime. Ce recueil est présenté en quatre "livres", chacun précédé par un poème isolé. Le Livre satirique, sous-titré Le Siècle regroupe quarante-quatre poèmes, écrits entre 1849 et 1875. Le livre dramatique, sous-titré La Femme est en fait en deux petites scènes dialoguées, intitulées Les deux trouvailles de Gallus, écrites en 1866. Le livre lyrique, sous-titré La Destinée, c’est à nouveau un recueil de poèmes divers, au nombre de cinquante-six. Le ton se rapproche cette fois, bien entendu, des Contemplations, la plupart des pièces datant des années 1855-1856. Le livre épique est en fait un seul poème, immense : La Révolution, un des plus importants de Victor Hugo pour qui la Révolution française était au centre de l'Histoire. Le poème avait été écrit en 1857 et initialement prévu pour figurer dans la Légende des siècles. I. LE LIVRE SATIRIQUE – Le Siècle SOMMAIRE I. Inde Irae II. « Lorsque j’étais encore un tout jeune homme pâle » III. « Ô sainte horreur du mal ! Devoir funèbre ! ô haine ! » IV. Éclipse V. « La satire à présent, chant où se mêle un cri » VI. Voix dans le grenier VII : Le Soutien des empires VIII. Écrit sur la première page d'un livre de Joseph de Maistre IX. Se laisser calomnier X. À un homme fini XI. À **** XII. Anima vilis XIII. Littérature XIV. À un écrivain XV. Le Mont-aux-pendus (Jersey) XVI. Le Bout de l'oreille XVII. L'Echafaud XVIII. Jolies Femmes XIX. « Cent mille hommes, criblés d’obus et de mitraille » XX. La hache? Non jamais? Je n'en veux pour personne XXI. « C’est à coups de canon qu’on rend le peuple heureux » XXII. Elle passa. Je crois qu'elle m'avait souri XXIII. Sur un portrait de sainte XXIV. Ecrit après la visite d'un bagne XXV. « Le spectre que parfois je rencontre riait » XXVI. Les Bonzes XXVII. « Et les voilà mentant, inventant, misérables » XXVIII. Aux prêtres XXIX. « Muse, un nommé Ségur, évêque, m’est hostile » XXX. Idolâtries et Philosophies XXXI. « Le vieil esprit de nuit, d’ignorance et de haine » XXXII. « Parfois c’est un devoir de féconder l’horreur » XXXIII. « C’est bien ; puisqu’au sénat, puisqu’à la pourriture » XXXIV. « Il faut agir, il faut marcher, il faut vouloir » XXXV. « Paris, le grand Paris agonise. Je pense » XXXVI. « Soit. C’est dit. Tout n’est plus qu’une cendre qui vole » XXXVII. Je suis haï. Pourquoi ? Pace que je défends XXXVIII. « Oui, vous avez raison, je suis un imbécile » XXXIX. « Puisque je suis étrange au milieu de la ville » XL. Ainsi nous n'avons plus Strasbourg, nous n'avons plu XLI. « Qui que tu sois qui tiens un peuple dans ta main » XLII. Dieu éclaboussé par Zoïle XLIII. Ils sont toujours là XLIV. Fulgur II. LE LIVRE DRAMATIQUE – La Femme LES DEUX TROUVAILLES DE GALLUS. I. MARGARITA, comédie. II. ESCA, drame. Acte I. Lison. Acte II. La marquise Zabeth. III. LE LIVRE LYRIQUE – La Destinée I. Je suis fait d’ombre et de marbre II. Aux oiseaux et aux nuages. III. Quand le bien et le mal, couple qui nous obsède IV. La calomnie immonde et qu’on jette en courant V. 1. Chanson d’autrefois. 2. Chanson d’aujourd’hui. VI. Près d’Avranches. VII. Chanson. VIII. Coup d’épée ; oui, mais non de poignard. Il te faut IX. En écoutant chanter la princesse ***. X. Un hymne harmonieux sort des feuilles du tremble XI. Dieu ne frappe qu’en haut. Infimes que nous sommes XII. Nuits d’hiver. XIII. 1. Chanson d’autrefois. 2. Chanson d’aujourd’hui. XIV. Jersey. XV. Androclès. XVI. À ma fille Adèle. XVII. En marchant le matin. XVIII. Un groupe tout à l’heure était là sur la grève XIX. Sur la falaise. XX. J’ai beau comme un imbécile XXI. En marchant la nuit dans un bois. XXII. Lueur à l’horizon. XXIII. Sous terre. XXIV. Bestiarium. XXV. Chanson. XXVI. Remontrances. XXVII. Pati. XXVIII. En hiver la terre pleure XXIX. L’absolu, l’éternel. Rien après, rien avant. XXX. Chanson. XXXI. À Meurice. — À Vacquerie. XXXII. Tourmente XXXIII. Ma vie entre déjà dans l’ombre de la mort XXXIV. Entrée dans l’exil. XXXV. L’immense Être inconnu sourit. XXXVI. Oh ! quoique je sois, sur la grève XXXVII. Exil. XXXVIII. Ô mon âme, en cherchant l’azur, ton vol dévie XXXIX. Tant qu’on verra l’amour pleurer, la haine rire XL. La nuit, pendant que les pêcheurs sont en mer. XLI. Duo. XLII. Pensées de nuit. XLIII. Quand Eschyle au vautour dispute Prométhée XLIV. Ô misérables amas de vanités humaines XLV. Le sommet est désert, noir, lugubre, inclément XLVI. Oui, la terre fatale, oui, le ciel nécessaire XLVII. Lettre. XLVIII. Promenades dans les rochers. XLIX. Rencontre d’une petite fagotière. L. À J. de S…, laboureur à Yvetot. LI. Le Parisien du faubourg. LII. Ô rois, de qui je vois les royaumes, là-bas LIII. J’ai coudoyé les rois, les grands, le fou, le sage LIV. Une rougeur au zénith. LV. L'horreur sacrée. LVI. L’âme humaine est sans cesse en tous les sens poussée. EN PLANTANT LE CHÊNE DES ÉTATS-UNIS D’EUROPE. Aux proscrits. IV. LE LIVRE EPIQUE – La Révolution I. Les statues. II. Les cariatides. III. L’arrivée. Soit. Mais quoi que ce soit qui ressemble à la haine * Les titres précédés d'un carré bleu sont des liens vers les textes. |
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