Gil Def Mar 22 Jan - 13:50
L'HOMME ET LA NATURE AU FIL DES SAISONS
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Printemps "Toute la Lyre" - 1888 Victor Hugo
Voici donc les longs jours, lumière, amour, délire ! Voici le printemps ! mars, avril au doux sourire, Mai fleuri, juin brûlant, tous les beaux mois amis ! Les peupliers, au bord des fleuves endormis, Se courbent mollement comme de grandes palmes ; L'oiseau palpite au fond des bois tièdes et calmes ; Il semble que tout rit, et que les arbres verts Sont joyeux d'être ensemble et se disent des vers. Le jour naît couronné d'une aube fraîche et tendre ; Le soir est plein d'amour ; la nuit, on croit entendre, A travers l'ombre immense et sous le ciel béni, Quelque chose d'heureux chanter dans l'infini.
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La vie aux champs Le chant de l'arêne Le chant du cirque Le deuil Le firmament est plein de la vaste clarté Le mot Le plus haut attentat que puisse faire un homme Le poème éploré se lamente Le poète Le poète Le poète dans les révolutions Le poète est un monde enfermé dans un homme Le poète s'en va aux champs Le portrait d'une enfant Le Sacre de Charles X Le soir Le soleil s'est couché ce soir dans les nuées Le Te Deum du 1er janvier 1852 Les deux îles Les Djinns Les femmes sont sur la terre Les forts Les innocents Les oiseaux Les paysans au bord de la mer Lorsque l'enfant paraît Louis XVII Melancholia Mille chemins, un seul but Moïse sur le Nil Napoléon II Napoléon III Nos morts Nous allions au verger Nuits de juin Ô mes lettres d'amour, de vertu, de jeunesse Océano nox Oh! je fus comme fou Oh! Pourquoi te cacher, tu pleurais seule ici Oh quand je dors viens auprès de ma couche Où donc est le bonheur ? Oui, je suis le rêveur ... Parfois, lorsque tout dort, je m’assieds plein de joie Paroles sur la dune Pauline Roland Pour les pauvres Premier mai Puisque j'ai mis ma lèvre à ta coupe encor pleine Puisque le juste est dans l'abîme Quand la lune apparait Quand les guignes furent mangées Quand tu me parles de gloire Regardez. Les enfants se sont assis en rond Saison des semailles Si vous n'avez rien à me dire Soleils couchants Sonnez, sonnez toujours, clairons de la pensée Sous les arbres Souvenir d'enfance Souvenir de la nuit du 4 Spectacle rassurant Sur un portrait de sainte Tu peux comme il te plaît Un jour je vis, debout au bord des flots mouvants Un soir que je regardais le ciel Une femme m'a dit ceci Veni, vidi, vixi Vénus Vieille chanson d'un jeune temps
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Dernière édition par Gil Def le Ven 7 Mar - 14:23, édité 1 fois
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La poésie, c'est les paroles éparses du réel (Octavio Paz)
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