Noailles, Anna de - 1913 : Les vivants et les morts
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Noailles, Anna de - 1913 : Les vivants et les morts
LES VIVANTS ET LES MORTS Anna de Noailles Edition 1913 - Fayard |
LES VIVANTS ET LES MORTS - Table des matières I. LES PASSIONS Tu vis, je bois l’azur J’ai tant rêvé par vous L’Amitié Tu t’éloignes, cher être J’espère de mourir Que m’importe aujourd’hui Je dormais, je m’éveille On ne peut rien vouloir Un jour, on avait tant souffert Je me défends de toi La Douleur Seigneur, pourquoi l’amour Le Chant du Printemps Je vous avais donné Ô mon ami, souffrez Nous n’avions plus besoin de parler J’ai vu à ta confuse Je marchais près de vous Tel l’arbre de corail T’aimer. Et quand le jour timide Cantique Avoir tout accueilli La Musique de Chopin Tu ressembles à la musique Je t’aime et cependant En écoutant Schumann Qu'ai-je à faire de vous ? Bénissez cette nuit Tout semble libéré Les soldats sur la route La Tempête La Nue est radieuse La Passion Je ne puis pas comprendre Tendresse Le Monde intérieur Je ne me réjouis de rien Destin imprévisible Comme le temps est court Vous emplissez ma vie Ainsi les jours ont fui Soir sur la terrasse Ô mon ami, sois mon tombeau Un abondant amour La Musique et la Nuit La Constance II. LES CLIMATS Syracuse Les Soirs du Monde Dans l’Azur antique Palerme s’endormait Le Désert des Soirs Le port de Palerme Les Soirs de Catane À Palerme, au Jardin Tasca Agrigente L’Auberge d’Agrigente L’Enchantement de la Sicile L’air brûle, la chaude magie Les journées romaines Musique pour les jardins de Lombardie Un soir à Vérone Un automne à Venise Va prier dans Saint-Marc La Messe de L’Aurore à Venise Nuit Vénitienne Cloches Vénitiennes Siroco à Venise L'Ile des folles à Venise Midi sonne au Clocher de la Tour Sarrasine Je n’ai vu qu’un instant Ainsi les jours s’en vont Le Retour au Lac Léman Octobre et son odeur Les Rives romanesques Au pays de Rousseau Un soir en Flandre Bonté de l’Univers que je croyais éteinte Automne Chaleur des Nuits d’été Arles La Nuit flotte L’Évasion Ceux qui n’ont respiré Le Ciel bleu du milieu du jour La Langueur des voyages La Terre Rivages contemplés Un Soir à Londres Le Printemps du Rhin Ce Matin clair et vif Les Nuits de Baden Henri Heine III. LES ELEVATIONS La Prière Ô Monde ! Nous passons Mon Dieu, je ne sais rien La Solitude Si vous parliez, Seigneur Mon Dieu, je sais qu’il faut Comme vous accablez vos préférés Je suis fière de tout J’ai revu la nature On étouffait d’angoisse atroce L’Espace nocturne Je vis, je pense, et l’ombre Je sais que rien n’est plus Le Destin du Poète Élévation En ces jours déchirants À Mistral Vers écrits sur les Champs de bataille d’Alsace-Lorraine Les Mânes de Napoléon Ô Dieu mystérieux IV. LES TOMBEAUX Les morts Ainsi les jours légers L’Abîme Hélas, il pleut sur toi Puisque j’ai su par toi Il paraît que la mort Les vivants se sont tus Le souvenir des morts Ton absence est partout La nuit rapproche mieux Puisqu’il faut que l’on vive Je ne veux pas savoir s’il fait clair Je respire et tu dors, à présent Malgré mes bras tendus Puisqu’il faut que la mort Je vivais. Mon regard, comme un peuple * Les titres précédés d'un carré bleu sont des liens vers les textes. |
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La poésie, c'est les paroles éparses du réel (Octavio Paz)
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