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Ronsard, Pierre de - 1578 : Sonnets pour Hélène

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Message  Gil Def Lun 15 Fév - 16:03

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SONNETS POUR HELENE

Pierre de Ronsard
1578



Ronsard, Pierre de - 1578 : Sonnets pour Hélène 45943


"SONNETS POUR HELENE" - Table des matières

PREMIER LIVRE

Ce premier jour de May
Quand à longs traits je boy
Ma douce Helene
Tout ce qui est de sainct
Helene sceut charmer
Poussé des flots d’Amour
Chanson. Quand je devise
Amour abandonnant
Tu ne dois en ton cœur
L’autre jour que j’estois
Ce siecle où tu nasquis
Le Soleil l’autre jour
Deux Venus en Avril
Soit que je sois hay
Trois ans sont ja passez
De vos yeux tout-divins
Te regardant assise
De toy ma belle Grecque
Cruelle il suffisoit
Tant de fois s’appointer
Quoy ? me donner congé
Je t’avois despitee
Puis qu’elle est toute hyver
Estant pres de ta face
Je liay d’un filet
D’un profond pensement
Je fuy les grands chemins
Chef escole des arts
Si j’estois seulement
De vos yeux le mirouer 4
L’arbre qui met à croistre
Osiez vostre beauté
De vostre belle vive
Nous promenant tous seuls
Cent et cent fois le jour
Tousjours pour mon sujet
Vous me distes, Maistresse
Voicy le mois d’Avril
D’autre torche mon cœur
Agathe où du Soleil
Puis que tu cognois bien
Comme je regardois
Cest amoureux desdain
J’avois, en regardant
Ronsard, Pierre de - 1578 : Sonnets pour Hélène 989837 Comme une belle fleur
Doux desdains, douce amour
Pour voir d’autres beautez
Coche cent fois heureux
Ton extrême beauté
D’un solitaire pas
Bien que l’esprit humain
Amour a tellement
Dessus l’Autel d’Amour
J’errois à la volee
Bienheureux fut le jour
Je sens de veine en veine  
Ronsard, Pierre de - 1578 : Sonnets pour Hélène 989837 Madrigal. Si c’est aimer
Amour est sans milieu
Ma fièvre croist tousjours
Je sens une douceur
Ne romps point au mestier
J’attachay des bouquets
Madame se levoit
Je ne veux point la mort
Si j’ay bien ou mal dit



SECOND LIVRE

I. Soit qu'un sage amoureux, ou soit qu'un sot me lise
II. Afin qu'à tout jamais de siecle en siecle vive
III. Amour, qui as ton regne en ce monde si ample
Ronsard, Pierre de - 1578 : Sonnets pour Hélène 989837 IV. Tandis que vous dansez et ballez à vostre aise
V. N'oubliez, mon Helene, aujourdhuy qu'il faut prendre
VI. Tu es seule mon coeur, mon sang et ma Deesse
VII. Hà, que ta Loy fut bonne, et digne d'estre apprise
Ronsard, Pierre de - 1578 : Sonnets pour Hélène 989837 Je plante en ta faveur cet arbre de Cybèle
IX. Ny la douce pitié, ny le pleur lamentable
X. Adieu belle Cassandre, et vous belle Marie
XI. A l'aller, au parler, au flamber de tes yeux
XII. Je ne veux comparer tes beautez à la Lune
XIII. Si voz yeux cognoissoient leur divine puissance
XIV. Si de voz doux regards je ne vais me repaistre
XV. Je voyois, me couchant, s'esteindre une chandelle
XVI. Helene fut occasion que Troye
XVII. Amour, qui tiens tout seul de mes pensers la clef
XVIII. Une seule vertu, tant soit parfaite et belle
XIX. Bon jour, ma douce vie, autant remply de joye
XX. Yeux, qui versez en l'âme, ainsi que deux Planètes
XXI. Comme un vieil combatant, qui ne veut plus s'armer
XXII. Laisse de Pharaon la terre Egyptienne
XXIII. Ces longues nuicts d'hyver, où la Lune ocieuse
Ronsard, Pierre de - 1578 : Sonnets pour Hélène 989837 XXIV. Quand vous serez bien vieille, au soir à la chandelle
XXV. Cest honneur, ceste loy sont noms pleins d'imposture
XXVI. Celle, de qui l'amour veinquit la fantasie
XXVII. Heureux le Chevalier, que la Mort nous desrobe
XXVIII. Lettre, je te reçoy, que ma Deesse en terre
XXIX. Lettre, de mon ardeur veritable interprete
XXX. Le soir qu'Amour vous fist en la salle descendre
XXXI. Je voy mille beautez, et si n'en voy pas une
XXXII. Ces cheveux, ces liens, dont mon coeur tu enlasses
XXXIII. Voulant tuer le feu, dont la chaleur me cuit
XXXIV. Je suis esmerveillé que mes pensers ne sont
XXXV. Belle gorge d'albastre, et vous chaste poictrine
XXXVI. Lors que le Ciel te fist, il rompit la modelle
XXXVII. Je te voulois nommer pour Helene, Ortygie
XXXVIII. J'errois en mon jardin, quand au bout d'une allee
XXXIX. De Myrthe et de Laurier fueille à fueille enserrez
XL. Seule sans compagnie en une grande salle
XLI. Qu'il me soit arraché des tetins de sa mere
XLII. Passant dessus la tombe, où ta moitié repose
XLIII. Je ne serois marry, si tu comptois ma peine
XLIV. Mon ame mille fois m'a predit mon dommage
XLV. Il ne faut s'esbahir, disoient ces bons veillars
XLVI. Ah, belle liberté, qui me servois d'escorte
XLVII. Tes freres les Jumeaux, qui ce mois verdureux
XLVIII. Ny ta simplicité, ny ta bonne nature
XLIX. Ceste fleur de Vertu, pour qui cent mille larmes
L. Afin que ton honneur coule parmy la plaine
LI. Ainsi que ceste au coule et s'enfuyt parmy l'herbe
LII. Il ne suffit de boire en l'eau que j'ay sacree
LIII. Adieu, cruelle, adieu, je te suis ennuyeux
LIV. Je m'enfuy du combat, ma bataille est desfaite
LV. Je chantois ces Sonets, amoureux d'une Heleine




* Les titres précédés d'un carré bleu sont des liens vers les textes.






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Gil Def
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