Jammes, Francis - 1898 : De l'Angélus de l'aube à l'Angélus du soir
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Jammes, Francis - 1898 : De l'Angélus de l'aube à l'Angélus du soir
DE L'ANGELUS DE L'AUBE A L'ANGELUS DU SOIR Francis Jammes Edition 1921 - Mercure de France |
DE L'ANGELUS DE L'AUBE A L'ANGELUS DU SOIR le pauvre pion lorsque je serai mort la maison serait pleine de roses j’aime l’âne silence l’après-midi c’est aujourd’hui j’allai à lourdes avec ton parapluie dans le verger laisse les nuages j’allais dans le verger ce sont les travaux j’aime dans le temps vieille marine si tu pouvais les villages on m’éreinte un gentilhomme dimanche des rameaux les dimanches la salle à manger un jeune homme j’ai fumé ma pipe en terre le vieux village je le trouvai vieille maison au beau soleil le pauvre chien la vallée il vint à l’étude pour son mariage comme un chant à jeanne fort j’ai été visiter les grues il y a par là je mettrai j’étais gai le vent triste elle va à la pension au bord de l’eau verte je suis dans un pré la jeune fille je parle de dieu la poussière froide dans la grange le calendrier utile septembre aujourd’hui, le long de la nuit il est près de salles on dit qu’à noël la paix est dans le bois ce fils de paysan l’eau coule avec les pistolets j’ai vu, dans de vieux salons le paysan les pâturages caügt je crève de pitié tu serais nue sur la bruyère tu seras nue un nuage est une barre la gomme coule oh ! ce parfum la poussière des tamis tu viendras le soleil faisait luire quand dans le brouillard tape le linge tu t’ennuies ? le village à midi tu écrivais viens, je te mettrai je sais que tu es pauvre il s’occupe ta figure douce voici les mois d’automne confucius rendait les honneurs je t’aime en songeant tu rirais je souffre, mais les petites colombes ô toi, rose moussue amie, souviens-toi la ferme était luisante je regardais le ciel le chat est auprès du feu pourquoi les bœufs il va neiger c’était affreux l’évier sent fort j’ai une pipe L'âne était petit je pense à jean-jacques au moulin du bois froid il y avait des carafes les badauds la jeune fille un peu souffrante quand verrai-je les îles il y a un petit cordonnier je m’embête j’écris dans un vieux kiosque voici le grand azur cette personne du courage ? avant que nous rentrions écoute, dans le jardin c’était à la fin que je t’aime une feuille morte bâte un âne LA NAISSANCE DU POÈTE UN JOUR LA MORT DU POÈTE * Les titres précédés d'un carré bleu sont des liens vers les textes. |
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La poésie, c'est les paroles éparses du réel (Octavio Paz)
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