Chénier, André - 1889 : Elégies
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Chénier, André - 1889 : Elégies
ELEGIES André Chénier Edition 1889 - Moland |
"ELEGIES" - Table des matières I. À Abel II. Imité d’une idylle de Bion III. Ô lignes que sa main IV. Ah ! je les reconnais V. Jeune fille, ton cœur VI. Aux frères de Pange VII. Aux mêmes VIII. Pourquoi de mes loisirs IX. La Seine X. Au chevalier de Pange XI. Ah ! portons dans les bois XII. J’ai suivi les conseils XIII. Imité de la 16e idylle de Bion XIV. Ô Muses, accourez XV. Souvent le malheureux XVI. Ô jours de mon printemps XVII. Ah ! des pleurs, des regrets ! XVIII. Au marquis de Brazais XIX. Mais ne m’a-t-elle pas juré XX. L’art des transports XXI. Reste, reste avec nous XXII. Ô nuit, nuit douloureuse XXIII. Première version : Animé par l’amour Seconde version : Reine de nos banquets XXIV. S’ils n’ont point le bonheur XXV. Souffre un moment encore XXVI. Non, je ne l’aime plus XXVII. Et c’est Glycère, amis XXVIII. De l’art de Pyrgotèle XXIX. De Pange, ami chéri XXX. À Lebrun XXXI. De Pange, le mortel XXXII. À Lebrun XXXIII. Hier, en te quittant XXXIV. Ô nécessité dure XXXV. Allons, l’heure est venue XXXVI. La lampe XXXVII. Je suis né pour l’amour XXXVIII. Aux deux frères Trudaine XXXIX. Oh ! puisse le ciseau XL. Eh bien, je le voulais XLI. Tout mortel se soulage XLII. Quand à la porte ingrate XLIII. Tout homme a ses douleurs XLIV. Le courroux d’un amant XLV. Viens près d’elle au matin XLVI. Va, sonore habitant XLVII. Il n’est donc plus d’espoir XLVIII. Partons, la voile est prête XLIX. Eh ! le pourrai-je au moins L. Souvent le malheureux sourit LI. Je suis en Italie, en Grèce LII. Île charmante, Amphitrite LIII. Soit que le doux amour LIV. Sur la mort d’un enfant LV. Allons, douce Élégie LVI. Ah ! tu ne m’entends point LVII. Pour mon élégie nocturne LVIII. Que sert des tours d’airain LIX. Lorsqu’un amant qui pleure LX. Au matin LXI. Je revois tous ses traits LXII. Ô de nœuds mutuels LXIII. Non, ces doctes beautés LXIV. Non, laisse-moi, retiens LXV. Vois ta brillante image LXVI. Elle a pu me bannir LXVII. Je dors, mais mon cœur veille LXVIII. Ainsi le jeune amant LXIX. Ô peuple des oiseaux LXX. Et moi quand la chaleur LXXI. Triste chose que l’amour LXXII. À l’heure où quelque amant LXXIII. On ne vit que pour soi LXXIV. Je t’indique le fruit LXXV. Seul dans la forêt LXXVI. Marseille LXXVII. La Seine en sortant de Paris LXXVIII. Des monts du Beaujolais LXXIX. Notes et fragments LXXX. Tu dis qu’on a dit du mal de moi LXXXI. L’Élégie est venue me trouver LXXXII. Élégie italienne. Éloge de la vieillesse LXXXIII. Élégie italienne. Ô c’est toi ! LXXXIV. Élégie italienne. Allez, mes vers LXXXV. Élégie italienne. Tel j’étais autrefois LXXXVI. Élégie italienne. Ô belle (son nom) LXXXVII. Élégie italienne. On pourrait imiter LXXXVIII. Élégie italienne. Au sommet de la montagne LXXXIX. Élégie orientale. Salut, dieux de l’Euxin XC. Élégie orientale. Trop longtemps le plaisir XCI. Élégie orientale. Rustan peut en un mois XCII. Élégie orientale. La solitude XCIII. Notes et fragments pour les élégies orientales * Les titres précédés d'un carré bleu sont des liens vers les textes. |
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La poésie, c'est les paroles éparses du réel (Octavio Paz)
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