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Du Bellay, Joachim - 1558 : Les Regrets

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Message  Gil Def Lun 6 Nov - 12:01

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LES REGRETS

Joachim Du Bellay
Edition 1903 - Oeuvres complètes



Du Bellay, Joachim - 1558 : Les Regrets 45943



Les Regrets est un recueil de poèmes de Joachim du Bellay, écrit lors de sa résidence à Rome de 1553 à 1557 et publié à son retour à Paris en janvier 1558 par l'éditeur parisien Frédéric Morel l'Ancien. Le recueil comprend 191 sonnets, tous en alexandrins. La forme adoptée par Du Bellay est nouvelle bien que le recueil soit de facture pétrarquiste. Le sujet n'est pas l'amour pour une femme, mais pour son pays natal avec trois sources d'inspiration : élégiaque, satirique et encomiastique. Revenu en France, le poète y retrouve les travers observés à Rome dans le but de rendre plus touchantes ses relations familiales.

"LES REGRETS"  - Liste des Incipits


AD LECTOREM
À MONSIEUR D’AVANSON Conseiller du Roy EN SON PRIVÉ CONSEIL

Du Bellay, Joachim - 1558 : Les Regrets 989837 I. Je ne veux point fouiller au sein de la nature
II. Un plus sçavant que moy (Paschal) ira songer
III. N’estant, comme je suis, encore exercité
IV. Je ne veux feuilleter les exemplaires Grecs
Du Bellay, Joachim - 1558 : Les Regrets 989837 V. Ceux qui sont amoureux, leurs amours chanteront
VI. Las, où est maintenant ce mespris de Fortune ?
VII. Cependant que la Court mes ouvrages lisoit
VIII. Ne t’esbahis, Ronsard, la moitié de mon ame,
Du Bellay, Joachim - 1558 : Les Regrets 989837 IX. France, mère des arts, des armes et des loix
X. Ce n’est le fleuve Thusque au superbe rivage
Du Bellay, Joachim - 1558 : Les Regrets 989837 XI. Bien qu'aux arts d'Apollon le vulgaire n'aspire
XII. Veu le soing mesnager, dont travaillé je suis
Du Bellay, Joachim - 1558 : Les Regrets 989837 XIII. Maintenant je pardonne à la douce fureur
XIV. Si l’importunité d’un crediteur me fasche
Du Bellay, Joachim - 1558 : Les Regrets 989837 XV. Panjas, veux-tu scavoir quels sont mes passe-temps?
XVI. Cependant que Magny suit son grand Avanson
XVII. Après avoir longtemps erré sur le rivage
XVIII. Si tu ne sçais (Morel) ce que je fais ici
XIX. Ce pendant que tu dis ta Cassandre divine
Du Bellay, Joachim - 1558 : Les Regrets 989837 XX. Heureux de qui la mort de sa gloire est suyvie
XXI. Comte, qui ne fis onc compte de la grandeur
XXII. Ores, plus que jamais, me plaist d’aimer la Muse
XXIII. Ne lira-lon jamais que ce Dieu rigoureux ?
XXIV. Qu’heureux tu es (Baïf), heureux et plus qu’heureux,
XXV. Malheureux l’an, le mois, le jour, l’heure, et le poinct
XXVI. Si celuy qui s’appreste à faire un long voyage
XXVII. Ce n’est l’ambition ni le soin d’acquerir
XXVIIII. Quand je te dis adieu, pour m’en venir ici
XXIX. Je hay plus que la mort un jeune casanier
XXX. Quiconques (mon Bailleul) fait longuement sejour
Du Bellay, Joachim - 1558 : Les Regrets 989837 XXXI. Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage
XXXII. Je me feray sçavant en la philosophie
XXXIII. Que feray-je, Morel ? dy moy, si tu l’entens
XXXIV. Comme le marinier, que le cruel orage
XXXV. La nef qui longuement a voyagé (Dillier)
XXXVI. Depuis que j’ay laissé mon naturel sejour
XXXVII. C’estoit ores, c’estoit qu’à moy je devois vivre,
XXXVIII. O qu’heureux est celuy qui peut passer son aage
Du Bellay, Joachim - 1558 : Les Regrets 989837 XXXIX. J'ayme la liberté et languis en service
XL. Un peu de mer tenoit le grand Dulichien
XLI. N’estant de mes ennuis la fortune assouvie
XLII. C’est ores, mon Vineux, mon cher Vineux, c’est ore
XLIII. Je ne commis jamais fraude, ne malefice
XLIV. Si pour avoir passé sans crime sa jeunesse
XLV. Ô marastre Nature (et marastre es-tu bien
XLVI. Si par peine, et sueur, et par fidelité
XLVII. Si onques de pitié ton ame fut atteinte
XLVIII. Ô combien est heureux, qui n’est contraint de feindre
XLIX. Si apres quarante ans de fidele service
L. Sortons (Dilliers), sortons, faisons place à l’envie
LI. Mauny, prenons en gré la mauvaise fortune,
LII. Si les larmes servoyent de remede au malheur
LIII. Vivons (Gordes), vivons, vivons, et pour le bruit
LIV. Maraud, qui n’es maraud que de nom seulement,
LV. Montigné (car tu es aux procez usité)
LVI. Baïf, qui, comme moy, prouves l’adversité
LVII. Ce pendant que tu suis le lievre par la plaine
LVIII. Le Breton est sçavant et sçait fort bien escrire
LIX. Tu ne me vois jamais (Pierre) que tu ne die
LX. Seigneur, ne pensez pas d’ouïr chanter ici
LXI. Qui est ami du cœur est ami de la bourse
LXII. Ce ruzé Calabrois, tout vice, quel qu’il soit
LXIII. Quel est celuy qui veut faire croire de soy
LXIV. Nature est aux bastards volontiers favorable
LXV. Tu ne crains la fureur de ma plume animee
LXVI. Ne t’esmerveille point que chacun il mesprise
LXVII. Magny, je ne puis voir un prodigue d’honneur
LXVIII. Je hay du Florentin l’usuriere avarice
LXIX. Pourquoi me grondes-tu, vieux mastin affamé
LXX. Si Pirithois ne fust aux enfers descendu,
LXXI. Ce brave qui se croit, pour un jacque de maille
LXXII. Encores que l’on eust heureusement compris
LXXIII. Gordes, j’ay en horreur un vieillard vicieux
LXXIV. Tu dis que Dubellay tient reputation
LXXV. Gordes, que Dubellay aime plus que ses yeux
LXXVI. Cent fois plus qu’à loüer on se plaist à mesdire :
LXXVII. Je ne descouvre ici les mystères sacrez
LXXVIII. Je ne te conteray de Boulongne, et Venise
LXXIX. Je n’escris point d’amour, n’estant point amoureux
LXXX. Si je monte au Palais, je n’y trouve qu’orgueil
LXXXI. Il fait bon voir, Paschal, un conclave serré
LXXXII. Veux-tu sçavoir, Duthier, quelle chose c’est Rome ?
LXXXIII. Ne pense, Robertet, que ceste Rome ci
LXXXIV. Nous ne faisons la cour aux filles de Memoire
LXXXV. Flatter un crediteur pour son terme allonger
LXXXVI. Marcher d’un grave pas et d’un grave souci
LXXXVII. D’où vient cela, Mauny, que tant plus on s’efforce
LXXXVIII. Qui choisira pour moy la racine d’Ulysse ?
LXXXIX. Gordes, il m’est advis que je suis esveillé
XC. Ne pense pas, Bouju, que les Nymphes Latines
XCI. Ô beaux cheveux d’argent mignonnement retors !
XCII. En mille crespillons les cheveux se frizer
XCIII. Douce mere d’amour, gaillarde Cyprienne
XCIV. Heureux celuy qui peut long temps suivre la guerre
LXV. Maudict soit mille fois le Borgne de Libye
XCVI. Ô Deesse, qui peux aux Princes egaler
XCVII. Doulcin, quand quelquefois je voy ces pauvres filles
XCVIII. D’où vient que nous voyons à Rome si souvent
XCIX. Quand je vays par la rue, où tant de peuple abonde
C. Ursin, quand j’oy nommer de ces vieux noms Romains
CI. Que dirons-nous, Melin, de ceste court Romaine
CII. On ne fait de tout bois l’image de Mercure
CIII. Si la perte des tiens, si les pleurs de ta mere
CIV. Si fruicts, raisins et bledz, et autres telles choses
CV. De voir mignon du Roy un courtisan honneste
CVI. Qui niera, Gillebert, s’il ne veut resister
CVII. Où que je tourne l’œil, soit vers le Capitole
CVIII. Je fuz jadis Hercule, or Pasquin je me nomme
CIX. Comme un, qui veut curer quelque Cloaque immunde
CX. Quand mon Caraciol de leur prison desserre
CXI. Je n’ai jamais pensé que ceste voute ronde
CXII. Quand je voy ces Seigneurs qui l’espee et la lance
CXIII. Avoir veu devaller une triple Montaigne
CXIV. Ô trois et quatre fois malheureuse la terre
CXV. Ô que tu es heureux, si tu cognois ton heur
CXVI. Fuyons, Dilliers, fuyons ceste cruelle terre
CXVII. Celuy vrayement estoit et sage, et bien appris
CXVIII. Quand je voy ces Messieurs, desquels l’auctorité
CXIX. Brusquet à son retour vous racontera, Sire
CXX. Voici le Carnaval, menons chacun la sienne
CXXI. Se fascher tout le jour d’une fascheuse chasse
CXXII. Cependant qu’au Palais de procez tu devises
CXXIII. Nous ne sommes faschez que la trefve se face
CXXIV. Le Roy (disent ici ces bannis de Florence)
CXXV. Dedans le ventre obscur, où jadis fut enclos
CXXVI. Tu sois la bien venue, ô bienheureuse trefve !
CXXVII. Ici de mille fards la trahison se desguise
CXXVIII. Ce n’est pas de mon gré, Carle, que ma navire
CXXIX. Je voy, Dilliers, je voy serener la tempeste
CXXX. Et je pensois aussi ce que pensoit Ulysse
CXXXI. Morel, dont le sçavoir sur tout autre je prise
CXXXII. Vineux, je ne vis oncques si plaisante province
CXXXIII. Il fait bon voir, Magny, ces Coyons magnifiques
CXXXIV. Celuy qui d’amitié a violé la loy
CXXXV. La terre y est fertile, amples les edifices
CXXXVI. Je les ay veus, Bizet, et si bien m’en souvient
CXXXVII. Scève, je me trouvay comme le fils d’Anchise
CXXXVIII. De-vaux, la mer reçoit tous les fleuves du monde
CXXXIX. Si tu veux vivre en Court, Dilliers, souvienne-toy
CXL. Si tu veux seurement en Court te maintenir
CXLI. Ami, je t’apprendray (encores que tu sois
CXLII. Cousin parle tousjours des vices en commun
CXLIII. Bizet, j’aymerois mieux faire un bœuf d’un formi
CXLIV. Gordes, je sçaurois bien faire un conte à la table
CXLV. Tu t’abuses, Belleau, si pour estre sçavant,
CXLVI. Souvent nous faisons tort nous mesme’ à nostre ouvrage
CXLVII. Ne te fasche, Ronsard, si tu vois par la France
CXLVIII. Autant comme lon peut en un autre langage
CXLIX. Vous dictes, courtisans, les Poëtes sont fouls
Du Bellay, Joachim - 1558 : Les Regrets 989837 CL. Seigneur, je ne saurais regarder d'un bon oeil
CLI. Je ne te prie pas de lire mes escrits
CLII. Si mes escrits, Ronsard, sont semez de ton los
CLIII. On donne les degrez au sçavant escolier
CLIV. Si tu m’en crois, Baïf, tu changeras Parnasse
CLV. Thiard, qui as changé en plus grave escriture
CLVI. Par ses vers Teïens Belleau me fait aimer
CLVII. En ce pendant, Clagny, que de mil argumens
CLVIII. De ce Royal palais que bastiront mes doigts
CLIX. De votre Dianet (de vostre nom j’appelle
CLX. Entre tous les honneurs, dont en France est cogneu
CLXI. Prelat, à qui les cieux ce bon heur ont donné
CLXII. Après s’estre basti sur les murs de Carthage
CLXIII. Il ne faut point, Duthier, pour mettre en evidence
CLXIV. Combien que ton Magny ait la plume si bonne
CLXV. Quand je voudray sonner de mon grand Avanson
CLXVI. Combien que ta vertu, Poulin, soit entendue
CLXVII. Sage de l’Hospital, qui seul de nostre France
CLXVIII. Nature à vostre naistre heureusement feconde
CLXIX. La fortune, Prelat, nous voulant faire voir
CLXX. Ce n’est pas sans propos qu’en vous le ciel a mis
CLXXI. Muse, qui autrefois chantas la verde Olive
CLXXII. Digne fils de Henry, nostre Hercule Gaulois
CLXXIII. La Grecque poesie orgueilleuse se vante
CLXXIV. Dans l’enfer de son corps mon esprit attaché
CLXXV. Non pource qu’un grand Roy ait esté vostre pere
CLXXVI. Esprit royal, qui prens de lumiere eternelle
CLXXVII. Si la vertu, qui est de nature immortelle
CLXXVIII. Quand d’une douce ardeur doucement agité
CLXXIX. Voyant l’ambition, l’envie, et l’avarice
CLXXX. De quelque autre suject, que j’escrive, Jodelle
CLXXXI. Ronsard, j’ay veu l’orgueil des Colosses antiques
CLXXXII. Je ne suis pas de ceux qui robent la loüange,
CLXXXIII. Morel, quand quelquefois je perds le temps à lire
CLXXXIV. Celuy qui de plus près attaint la Deité
CLXXXV. Quand ceste belle fleur premierement je vi
CLXXXVI. La jeunesse, Du-Val, jadis me fit escrire
CLXXXVII. Bucanan, qui d’un vers aux plus vieux comparable
CLXXXVIII. Paschal, je ne veux point Jupiter assommer
CLXXXIX. Cependant, Pelletier, que dessus ton Euclide
CXC. Dessous ce grand François, dont le bel astre luit
CXCI. Sire, celuy qui est, a formé toute essence


* Les titres précédés d'un carré bleu sont des liens vers les textes.




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La poésie, c'est les paroles éparses du réel (Octavio Paz)
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