Guérin, Charles - 1905 : L'Homme intérieur
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Guérin, Charles - 1905 : L'Homme intérieur
Gil Def Sam 9 Déc - 16:05
L'HOMME INTERIEUR Charles Guérin Edition 1905 - Mercure de France |
"L'HOMME INTERIEUR" - Table des matières I i. AVANT QUE MON DÉSIR DOULOUREUX SOIT COMBLÉ II. J’AI CROISÉ SUR LA ROUTE OU JE VAIS DANS LA VIE III. JE SUIS ASSIS DEVANT LA PORTE DE LA FERME IV. MA FENÊTRE ÉTAIT LARGE OUVERTE SUR LA NUIT V. TEL QUE L’ACIER QU’ON FORGE AU SORTIR DE LA FLAMME VI. CRÉPUSCULE. UNE ÉTOILE AU SUD. GRILLONS. SOUPIR VII. IL N’EST RIEN DE VIVANT QUI NE VIEILLISSE POINT II VIII. IL EST DES SOIRS OU L’ON SE SENT IX. LE POÈTE VEILLE AUJOURD’HUI X. O DÉCLIN D’UN BEAU JOUR DE MAI XI. ON TROUVE DANS MES ANCIENS VERS XII. QUAND AOUT S’APPESANTIT SUR LES VILLAGES BLANCS XIII. SEPTEMBRE. JE RESPIRE AUTOUR DE LA MAISON XIV. EN OCTOBRE, QUAND TU VERRAS XV. ENIVRÉ DE VOIR QUE TON FLANC III XVI. LE FORGERON LEVÉ DÈS L’ÉTOILE DU JOUR  XVII. LE TEMPS N’A POINT PALI TA SOUVERAINE IMAGE XVIII. SI TU VEUX VOIR UN VASE AUX BELLES FORMES NAITRE XIX. SUIS JUSQU’A LA FONTAINE OU FINIT SON CHEMIN XX. J’ÉTAIS COUCHÉ DANS L’OMBRE AU SEUIL DE LA FORÈT XXI. VOICI L’HEURE OU LE JOUR NAISSANT CHASSE LA NUIT XXII. LES CERISIERS, QU’ON VOIT EN LONGUES AVENUES XXIII. LA LUNE RONDE S’ÉLÈVE XXIV. SAISON FIDÈLE AUX COEURS QU’IMPORTUNE LA JOIE IV XXV. QUE M’IMPORTE AUJOURD’HUI QU’ON ME HAÏSSE OU M’AIME XXVI. LA DOULEUR EST UN VIN D’UNE ACRETÉ SAUVAGE XXVII. JE DÉFENDS L’ACCÈS DE MES YEUX XXVIII. LE SILENCE ET L’OMBRE ENVAHISSENT XXIX. J’ÉPROUVE A ME HAÏR UNE FAROUCHE JOIE XXX. AH ! CE BRUIT AFFREUX DE LA VIE ! XXXI. TA JEUNESSE, A TORT OBSTINÉE XXXII. QUOIQUE TON AME AIT LE DROIT XXXIII. TIRÉSIAS. PROPHÈTE ANCIEN, PERDIT LA VUE XXXIV. HERCULE, AVANT QU’IL ABOUTISSE XXXV. SI JAMAIS A MON SEUIL S’ARRÈTE LE BONHEUR XXXV. JE RETROUVE, EN RENTRANT CE SOIR A MON FOYER V XXXVII. DE LOIN L’ARBRE ISOLÉ SUR LE COTEAU NE VOILE XXXVIII. JE PASSE TRISTEMENT CES SEMAINES D’HIVER XXXIX. NOUS MONTONS DANS LA VIE EN PEINANT CÔTE A CÔTE XL. C’EST L’HEURE APRÈS LA PLUIE OU, REDEVENANT PUR XLI. DEMEURONS JUSQU’AU BOUT DEUX AMES INSOUMISES XLII. QUE M’IMPORTE LA VILLE OU JE ME TROUVE ICI ? XLIII. ELLE M’ÉCRIT : ENCORE UN JOUR VÉCU POUR RIEN XLIV. TON IMAGE EN TOUS LIEUX PEUPLE MA SOLITUDE XLV. QUAND MON ESPRIT S’APPRÈTE A FAIRE UN LONG VOYAGE. XLVI. COMME JE M’ACCUSAIS D’AVOIR A QUELQUE ÉCRIT XLVII. L’AMBRE, LE SEIGLE MUR, LE MIEL PLEIN DE LUMIÈRE XLVIII. DANS CE CLOÎTRE IGNORÉ DES GUIDES XLIX. SI CONTRAINT PAR L’AMOUR A SOUFFRIR EN SECRET L. MON AMOUR INÉGAL EST PLEIN D’EMPORTEMENTS LI. L’AMOUR LE PLUS LIMPIDE A SA SECRÈTE MOUE LII. DÈS LE PREMIER MOMENT, CE JOUR-LA, TU COMPRIS LIII. UN AUTRE JOUR C’ÉTAIT SOUS UN PORCHE D’ÉGLISE LIV. DANS LE VERGER QUE JUIN PAVOISE DE CERISES LV. COUPLE NEUF, ON VOYAGE EN WAGON JUSQU’AU SOIR LVI. PARFOIS, CRAINTIVEMENT, DANS MES BRAS TU TE SERRES VI LVII. LES OMBRES D’UNE NUIT D’AUTOMNE SONT VENUES LVIII. BIEN QUE MORT A LA FOI QUI M’ASSURAIT DE DIEU LIX. J’ALLAIS VOIR SE LEVER LE JOUR SUR LA MONTAGNE LX. DONC TU VAS HORS DES LIEUX OU T’ENCHAINAIT LE DOUTE. LXI. MAIS RESTREINTE AU DÉSIR D’UNE GLOIRE INHUMAINE |
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