All for love - George Gordon Byron (1788-1824)
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All for love - George Gordon Byron (1788-1824)
All for love - Tout pour l'amour
Voice : Jordan Harling
Voice : Jordan Harling
O talk not to me of a name great in story; The days of our youth are the days of our glory; And the myrtle and ivy of sweet two-and-twenty Are worth all your laurels, though ever so plenty. What are garlands and crowns to the brow that is wrinkled? 'Tis but as a dead flower with May-dew besprinkled: Then away with all such from the head that is hoary— What care I for the wreaths that can only give glory? O Fame!—if I e'er took delight in thy praises, 'Twas less for the sake of thy high-sounding phrases, Than to see the bright eyes of the dear one discover She thought that I was not unworthy to love her. There chiefly I sought thee, there only I found thee; Her glance was the best of the rays that surround thee; When it sparkled o'er aught that was bright in my story, I knew it was love, and I felt it was glory. | Ne me parle pas d'un nom qui a fait couler beaucoup d'encre ; Les jours de notre jeunesse sont les jours de notre gloire ; Et le myrte et le lierre de nos vingt-deux ans valent tous vos lauriers, même s'ils sont si nombreux. Que sont les guirlandes et les couronnes pour un front ridé ? Ce n'est qu'une fleur morte que la rosée de mai a éclaboussée : Qu'on enlève donc tout cela de la tête qui s'enroule. Qu'en ai-je à faire des couronnes qui ne peuvent que donner de la gloire ? O gloire ! Si j'ai jamais pris plaisir à tes louanges, C'était moins pour l'amour de tes belles phrases, Que pour voir les yeux brillants de l'être cher découvrir Qu'elle pensait que je n'étais pas indigne de l'aimer. C'est là que je t'ai cherchée, c'est là que je t'ai trouvée ; Son regard était le meilleur des rayons qui t'entourent ; Quand il étincelait sur tout ce qui était brillant dans mon histoire, Je savais que c'était de l'amour, et je sentais que c'était de la gloire. Traduction : --- |
Autres textes du même auteur : She walks in beauty |
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La poésie, c'est les paroles éparses du réel (Octavio Paz)
Gil Def- Admin
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