Gil Def Sam 19 Oct - 9:30
Victor HUGOBesançon 26.02.1802 – 22.05.1885 Paris
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. Titres écrits en rouge : Version chantée . Titres écrits en bleu : Version orale . Titres écrits en blanc : version écrite
1820--- LES ORIENTALES . Les Djinns
1826--- ODES ET BALLADES . A une jeune fille . Jéhovah . La chauve-souris . La grand-mère . La légende de la nonne . La mort du Duc de Berry . La naissance du Duc de Bordeaux . La Vendée . Le chant de l'arêne . Le chant du cirque . Le poète . Le poète dans les révolutions . Le portrait d'une enfant . Le Sacre de Charles X . Les deux îles . Louis XVII . Moïse sur le Nil
1832--- LES FEUILLES D'AUTOMNE . A M. David, statuaire . Le soleil s'est couché ce soir dans les nuées . Lorsque l'enfant paraît . Ô mes lettres d'amour, de vertu, de jeunesse . Oh! Pourquoi te cacher, tu pleurais seule ici . Où donc est le bonheur ? . Parfois, lorsque tout dort, je m’assieds plein de joie . Pour les pauvres . Soleils couchants . Souvenir d'enfance
1835--- LES CHANTS DU CREPUSCULE . Hier, la nuit d’été, qui nous prêtait ses voiles . L'aube s'allume . Napoléon II . Puisque j'ai mis ma lèvre à ta coupe encor pleine
1837--- LES VOIX INTERIEURES . Dieu est toujours là . Regardez. Les enfants se sont assis en rond
1840--- LES RAYONS ET LES OMBRES . A cette terre où l'on ploie . A un poète . J'eus toujours de l'amour pour les choses ailées . La fonction du poète . Mille chemins, un seul but . Nuits de juin . Océano nox . Oh quand je dors viens auprès de ma couche . Quand tu me parles de gloire - . Spectacle rassurant
1853--- LES CHATIMENTS . Aux morts du 4 décembre . Cette nuit, il pleuvait, la marée était haute . Ceux qui vivent sont ceux qui luttent . Hymne des transportés . Le plus haut attentat que puisse faire un homme . Le Te Deum du 1er janvier 1852 . Napoléon III . Pauline Roland . Puisque le juste est dans l'abîme . Sonnez, sonnez toujours, clairons de la pensée . Souvenir de la nuit du 4
1856--- LES CONTEMPLATIONS . A André Chénier . A la mère de l'enfant mort . A ma fille . Aimons toujours! Aimons encore . Aux arbres . Ce que c'est que la mort . Chose vue un jour de printemps . Croire, mais pas en nous . Demain, dès l'aube . Elle avait pris ce pli . Elle était déchaussée, elle était décoiffée . En écoutant les oiseaux . Epitaphe . Halte en marchant . Il faut que le poète . Il lui disait : vois-tu … . J'ai cueilli cette fleur pour toi sur la colline . J'aime l'araignée . Je respire où tu palpites . Je sais bien qu'il est d'usage . Jeune fille, la grâce emplit tes dix-sept ans . Joies du soir . La coccinelle . La nichée sous le portail . La vie aux champs . Le firmament est plein de la vaste clarté . Le poème éploré se lamente . Le poète . Le poète s'en va aux champs . Les femmes sont sur la terre . Les oiseaux . Melancholia . Nous allions au verger . Oh! je fus comme fou . Oui, je suis le rêveur ... . Paroles sur la dune . Premier mai . Si vous n'avez rien à me dire . Sous les arbres . Tu peux comme il te plaît . Un jour je vis, debout au bord des flots mouvants . Un soir que je regardais le ciel . Veni, vidi, vixi . Vieille chanson d'un jeune temps
1859--- LA LEGENDE DES SIECLES . Après la bataille . Le poète est un monde enfermé dans un homme . Les paysans au bord de la mer
1866--- LES CHANSONS DES RUES ET DES BOIS . Depuis six mille ans la guerre . Fêtes de village en plein air . Je ne mets pas en peine . Jour de fête aux environs de Paris . Le soir . Quand les guignes furent mangées . Saison des semailles
1872--- L'ANNEE TERRIBLE . A petite Jeanne . A qui la faute ? . A qui la victoire définitive? . Avant la conclusion du traité . Bêtise de la guerre . Dignes l'un de l'autre . Le deuil . Les forts . Les innocents . Nos morts . Une femme m'a dit ceci
1877--- L'ART D'ETRE GRAND-PERE . Choses du soir . Jeanne était au pain sec
1881--- LES QUATRE VENTS DE L'ESPRIT . Ainsi nous n'avons plus Strasbourg, nous n'avons plu . Ecrit après la visite d'un bagne . Elle passa. Je crois qu'elle m'avait souri . Je suis haï. Pourquoi ? . L'Echafaud . La hache? Non jamais? Je n'en veux pour personne . Sur un portrait de sainte
1888--- TOUTE LA LYRE . A Théophile Gautier . Dans la forêt . Je la revois, après vingt ans . L'aube est moins claire . L'enfant . Le mot . Printemps . Quand la lune apparait . Vénus
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La poésie, c'est les paroles éparses du réel (Octavio Paz)
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